Voir un numéro

 

Précédent <<<<<<<<>>>>>>>> Suivant

 


D’après photos © Look and Learn / Bridgeman : Madame de la Fayette, gravure colorée pour Le Plutarque français par Edouard Mennechet (Le Crapelet, 1837-1841) © Kharbine Tapabor Page de titre de La Princesse de Clèves par Madame de La Fayette, édition originale de 1678.

 

Madame de la Fayette 1634-1693


Premier jour : Séverine Perrier">Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins PARIS le 19 et 20 mai 2023
Vente générale : 22 mai 2023
Dédicace : Séverine PERRIER animera une séance de dédicaces le vendredi 19 mai de 10H30 à 12H30. au Carré d'Encre
Valeur faciale : 1.16 €€
Validité affranchissement : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
création : Séverine Perrier
Département concerné par ce timbre : 75
Dentelure : 13¼ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure

Quantite émis : 705.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite

 



Timbres présentants : Les Ecrivains, philosophes, historiens, poêtes

 


Mme de la fayette

Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette , baptisée le 18 mars 1634 en l'église Saint-Sulpice de Paris et morte le 25 mai 1693 dans la même ville, est une romancière et épistolière française du Grand Siècle.
Source Wikipédia
Madame de La Fayette, est l’une des plus grandes auteures féminines du XVIIe siècle. Issue de la petite noblesse, la jeune fille est introduite à l’adolescence dans les salons littéraires à la mode grâce à l’amitié de Madame de Sévigné. Elle s’y distingue par sa curiosité, sa culture et son intelligence. Elle y fréquente les beaux esprits de son temps, notamment la future duchesse d’Orléans, Henriette d’Angleterre, le grammairien mondain Gilles Ménage, avec lequel elle fait ses premiers pas en latin, espagnol et italien. En 1655, elle épouse le comte de La Fayette, dont elle aura deux fils. Ce gentilhomme campagnard vivant la plupart du temps retiré sur ses terres, la jeune femme peut se livrer sans contrainte à sa passion de l’écriture. Rompant avec le genre précieux de l’époque, elle publie, sans les signer, deux livres : La Princesse de Montpensier (1662) et Zaïde (1669). Madame de La Fayette a ouvert la voie au roman psychologique et analytique. Son chef-d’œuvre La Princesse de Clèves (1678) décrit les mœurs de la cour et étudie le cheminement de la passion et de ses tourments.
Source © La Poste - Fabienne Azire -