Voir un numéro

 

Précédent <<<<<<<<>>>>>>>> Suivant

 

Rodemack

D'après photos Jean-Marie Clausse

 

Rodemack Moselle


Premier jour : Oblitération 1er jour à  Paris au carré d'Encre et à Rodemack, Esplanade de la Brasserie, 57970 YUTZ le 26 et 27 juin 2020
Vente générale : 29 juin 2020
Retrait de la vente : 31 mai 2021
Valeur faciale : 0.97 €€
Validité affranchissement : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
Graveur : Elsa Catelin

création : Mathilde Laurent

Département concerné par ce timbre : 57
Dentelure : 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce

Quantite émis : 600.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 5407
Valeur marchande timbre neuf : 0,90 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,30 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 



Timbres présentants : Villes, places, rues

 


Informations sur le visuel
L'image représente la porte de Sierck et une partie des remparts

 

Rodemack

Au XIIe siècle, les seigneurs de Rodemack, vassaux du comte de Luxembourg, en firent une place forte. En 1492, Bernard, le dernier seigneur de Rodemack, fut dépossédé de toutes ses terres pour cause de félonie – on lui reprochait de s’être allié aux Français – au profit des margraves de Bade. Les Français occupent définitivement Rodemack en 1678. Par sa situation, Rodemack est au carrefour des conflits jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.Au pied de l’imposante citadelle se blottit le bourg entouré de 700 mètres de remparts du XIVe siècle, percés de meurtrières et ponctués de tours rondes. C’est par la magnifique porte de Sierck que l’on pénètre dans le village. Cette porte, défendue par deux tours rondes, était nommée autrefois « porte de la Franchise ». À l’intérieur, le long des ruelles pavées, on découvre un beau patrimoine architectural qui caractérise bien l’habitat lorrain.
Source communiqué de presse © - La Poste - Pascal Rith