Accueil
Classiques et courants
Carnets
Blocs feuillets
Souvenirs
Colis
Croix Rouge
Grève
Guerre
Aériens
Préoblitérés
Service
Taxe
Adhésifs
Philatélie
lexique philatélique
Quelques explications
Signatures experts
Histoire de la poste
Tarifs postaux
Les graveurs/dessinateurs
Classement par cote
Contact
Contact
Séries classiques
Les types Blanc
Les types Cérès
Les types Coq
Les types Liberté
Les types Marianne
Les types Mercure
Les types Sabine
Les types Sage
Les types Semeuse
Séries thématiques
Les Animaux
Les Armoiries
Les Comédiens
Les Croix rouge
Les Dessinateurs
liste complète des thèmes
LISA
(timbres de distributeurs)
Quelques explications
Affichage une par une
Salon d'Automne
Associations philatéliques
Expo Marcophilex
Assemblées Philapostel
Salon de Printemps
LISA par année
Arménie-France
Premier jour :
Jean Paul Cousin">Oblitération 1er jour à Paris le 22 mai 2007
Vente générale : 22 mai 2007
Retrait de la vente : 28 mars 2008
Valeur faciale : 0.85 €€
Dessinateur : Aurélie Baras
Département concerné par ce timbre : 51
Dentelure : Dentelé 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : HéliogravureBande phosphore : 2 bandesCatalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 4059Catalogue Maury Timbres français : N° 4058Valeur marchande timbre neuf : 1,68 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,66 €
NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)
Timbres présentants : Les Peintres, sclupteurs, architectes, tableaux, vitraux
L'Ange au Sourire
dénommé aussi Sourire de Reims, est une statue dont l'original avait été sculpté entre 1236 et 1245. Cette statue se trouve au portail nord de la façade occidental de la cathédrale de Reims.
Les anges de la cathédrale de Reims sont bien connus des érudits du XIXe et du début XXe pour leur gracieux sourire.
Statue alors anonyme, l'Ange est décapité par une poutre de l'échafaudage en flammes, lors de l'incendie de la cathédrale de Reims, le 19 septembre 1914. Après une chute de quatre mètres cinquante, elle se brise au sol en plus d'une vingtaine de morceaux. La tête de l'Ange au Sourire est ramassée par l'abbé Jules Thinot, dès le lendemain de l'incendie, et mise en sûreté dans les caves de l'archevêché de Reims. C'est là qu'elle est découverte par l'architecte Max Sainsaulieu, le 30 novembre 1915. Elle sert alors de support pour la propagande française, devenant le symbole du génie français et du patrimoine détruit par l'armée allemande.
Après la guerre et à partir des fragments d'origine et d'un moulage conservé au musée des monuments français (ancien Palais du Trocadéro), cette célèbre figure est reconstituée et remise à sa place, le 13 février 1926.
Source WIKIPEDIA