Accueil
Classiques et courants
Carnets
Blocs feuillets
Souvenirs
Colis
Croix Rouge
Grève
Guerre
Aériens
Préoblitérés
Service
Taxe
Adhésifs
Philatélie
lexique philatélique
Quelques explications
Signatures experts
Histoire de la poste
Tarifs postaux
Les graveurs/dessinateurs
Classement par cote
Contact
Contact
Séries classiques
Les types Blanc
Les types Cérès
Les types Coq
Les types Liberté
Les types Marianne
Les types Mercure
Les types Sabine
Les types Sage
Les types Semeuse
Séries thématiques
Les Animaux
Les Armoiries
Les Comédiens
Les Croix rouge
Les Dessinateurs
liste complète des thèmes
LISA
(timbres de distributeurs)
Quelques explications
Affichage une par une
Salon d'Automne
Associations philatéliques
Expo Marcophilex
Assemblées Philapostel
Salon de Printemps
LISA par année
Dora Maar 1907-1997
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le le 28 et 29 mai 2021
Vente générale : 31 mai 2021
Retrait de la vente : 31 mai 2022
Valeur faciale : 2.56 €
Dentelure : 13¼ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 450.000.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5491
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,50 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,65 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires Muse de Picasso, Dora Maar
fut aussi une artiste singulière, photographe et peintre. D’origines croate par son père, architecte, française par sa mère, Henriette Théodora Markovitch (Paris, 1907-1997) passe sa jeunesse à Buenos Aires. De retour à Paris, elle étudie la peinture à l’Académie Julian et suit les cours de l’École de photographie. Adoptant le pseudonyme de Dora Maar à la fin des années 20, elle s’affirme comme photographe. Politiquement engagée à gauche, elle dénonce la misère sociale dans des clichés saisissants, pris dans les quartiers pauvres de Londres, Paris ou Barcelone. Associée au photographe et décorateur de cinéma Pierre Kéfer, elle ouvre son studio. Travaillant pour la publicité et la mode, réalisant portraits et nus, Dora Maar affirme son penchant onirique. Dès 1933, elle se rapproche des surréalistes. Son terrifiant Portrait d’Ubu, photographie d’un fœtus de tatou, ses photomontages d’une grande perfection formelle tirent du réel leur dérangeante étrangeté. Peintre, elle se dégage de l’emprise de Picasso et réalise après la guerre des natures mortes, puis des paysages qui la mèneront aux confins de l’abstraction. Dans les années 1970-80, ses négatifs grattés et ses « dessins de lumière » réconcilient peinture et photographie dans une même gestuelle.
Source © - La Poste