Accueil
Classiques et courants
Carnets
Blocs feuillets
Souvenirs
Colis
Croix Rouge
Grève
Guerre
Aériens
Préoblitérés
Service
Taxe
Adhésifs
Philatélie
lexique philatélique
Quelques explications
Signatures experts
Histoire de la poste
Tarifs postaux
Les graveurs/dessinateurs
Classement par cote
Contact
Contact
Séries classiques
Les types Blanc
Les types Cérès
Les types Coq
Les types Liberté
Les types Marianne
Les types Mercure
Les types Sabine
Les types Sage
Les types Semeuse
Séries thématiques
Les Animaux
Les Armoiries
Les Comédiens
Les Croix rouge
Les Dessinateurs
liste complète des thèmes
LISA
(timbres de distributeurs)
Quelques explications
Affichage une par une
Salon d'Automne
Associations philatéliques
Expo Marcophilex
Assemblées Philapostel
Salon de Printemps
LISA par année
Andrée Chedid 1920 - 2011
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre le 20 et 21 mars 2020
Vente générale : 10 février 2020
Retrait de la vente : 31 mars 2021
Valeur faciale : 1.16 €
Dentelure : 13¼
Couleur : bleu, blanc et gris
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 700.005.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5388
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,05 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,63 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires Andrée Chedid
Poétesse, romancière, dramaturge, parolière, Andrée Chedid a inlassablement interrogé la condition humaine. Son œuvre traduit l’urgence de célébrer la valeur profonde de la vie, au-delà des différences générationnelles, religieuses, culturelles, géographiques… D’origine libanaise, née au Caire, Andrée Chedid s’installe à Paris en 1946. Cette amoureuse de la langue française se consacre à la poésie pendant une quinzaine d’années avant d’explorer d’autres genres littéraires : romans – Le Sixième Jour, L’Autre, tous deux adaptés au cinéma, L’Enfant multiple...
De son enfance en Égypte, pays dont elle louait la tolérance et l’humour, de ses années au Liban elle gardera une sensibilité orientale dépourvue de nostalgie. Et si elle rend souvent hommage à ses racines, elle s’attache dans ses poèmes comme dans ses romans à bâtir des passerelles entre le passé et le présent, entre le Proche-Orient et l’Occident. Avec une écriture fluide et lumineuse, à la fois sobre et lyrique, Andrée Chedid fait souvent évoluer ses personnages dans un univers sombre, où s’affrontent le bien et le mal. Prix Goncourt de la nouvelle en 1979 et Goncourt de la poésie en 2002, celle pour qui écrire un poème était « prendre la vie à bras-le-corps », a laissé une œuvre considérable, internationalement reconnue, portée par une conviction : la nécessité de l’amour, l’amour de la vie, l’amour de l’humain
Source communiqué de presse ©La Poste