Accueil
Classiques et courants
Carnets
Blocs feuillets
Souvenirs
Colis
Croix Rouge
Grève
Guerre
Aériens
Préoblitérés
Service
Taxe
Adhésifs
Philatélie
lexique philatélique
Quelques explications
Signatures experts
Histoire de la poste
Tarifs postaux
Les graveurs/dessinateurs
Classement par cote
Contact
Contact
Séries classiques
Les types Blanc
Les types Cérès
Les types Coq
Les types Liberté
Les types Marianne
Les types Mercure
Les types Sabine
Les types Sage
Les types Semeuse
Séries thématiques
Les Animaux
Les Armoiries
Les Comédiens
Les Croix rouge
Les Dessinateurs
liste complète des thèmes
LISA
(timbres de distributeurs)
Quelques explications
Affichage une par une
Salon d'Automne
Associations philatéliques
Expo Marcophilex
Assemblées Philapostel
Salon de Printemps
LISA par année
Louise de Bettignies 1880 - 1918
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Saint-Amand-les-Eaux (59) Jardin de l’Abbaye, salle Jean Ferrat, le 28 et 29 septembre 2018
Vente générale : 1 octobre 2018
Retrait de la vente : 31 juillet 2019
Valeur faciale : 0.80 €
Dentelure : Dentelé 13¼
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 500.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5266
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,20 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations sur le visuel La maison natale de Louise de Bettignies à Saint-Amand-LesEaux est représentée sur le côté droit du timbre.
Informations complémentaires Louise de Bettignies
naît en 1880 à Saint-Amand. Quand la guerre éclate, elle rentre à Lille. Dès le siège de la ville, elle s'illustre en ravitaillant, sous la mitraille, ses défenseurs, puis en soignant les blessés. Elle s'engage auprès des services secrets britanniques et prend le nom d'Alice Dubois, met sur pied un réseau d'informateurs et renseigne sur les mouvements, les positions des forces ennemies.
Sa fougue et son courage ne s'éteignent pas malgré son arrestation, après une dénonciation probable, le 20 octobre 1915 près de Tournai. Incarcérée à Bruxelles, elle est condamnée à mort pour espionnage en mars 1916, peine commuée en détention perpétuelle. Enfermée à la forteresse de Siegburg, elle se révolte et convainc ses codétenues de refuser de fabriquer du matériel de guerre. Mise au cachot, elle tombe malade. Affaiblie, mal soignée, opérée sans hygiène, elle meurt en septembre 1918 à Cologne. Son corps est rapatrié à Saint-Amand en 1920.
Source communiqué de presse de la Poste