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Les insectes - bloc de 4 timbres
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre le 19 et 20 mai 2017
Vente générale : 22 mai 2017
Retrait de la vente : 28 février 2018
Valeur faciale : 2.92 €
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 450.000.
Catalogue Yvert et Tellier : N° F5148
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 2,75 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,88 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires Les noms de ces insectes racontent tous une histoire, Le hanneton, ce coléoptère ne s'est multiplié dans nos régions qu'à l'époque des grands défrichements du haut Moyen-Age, ce qui explique son nom d'origine germanique.
Le carabe doit son nom au latin carabus, qui s'apparente à scarabée, un terme générique pour d'autres coléoptères.
La demoiselle est couramment appelée « libellule ». Demoiselles et libellules présentent pourtant des différences importantes, en particulier la position de leurs ailes au repos. Les ailes de notre demoiselle lui valent son nom savant, Calopteryx splendens, qui signifie à la fois « qui a de belles ailes » et « resplendissante ».
Toutefois c'est la coccinelle qui raconte la plus belle histoire, non pas pour la couleur rouge de ses élytres qui apparaît dans son nom - cocci est un emprunt au grec et signifie « écarlate » - mais parce qu'on la nomme aussi la bête à bon Dieu. Elle est l'héroïne d'une jolie légende du Moyen-Age où un homme innocent condamné à mort, aurait dû son salut à une coccinelle posée sur son cou quand le bourreau s'apprêtait à lui trancher la tête. Y voyant une intervention divine, le roi Robert le Pieux avait alors gracié le condamné. Et depuis, la coccinelle est considéré comme un porte-bonheur.