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L'histoire des plumes d'écriture - La plume d'oie
vente anticipée : Bureau temporaire à Paris à l'espace Champeret du 4 au 6 novembre 2016, au Carré d'Encre le 4 et 5 novembre 2016
Vente générale : 7 novembre 2016
Retrait de la vente : 25 aout 2017
Valeur faciale : 0.70 €
Graveur : Sarah Bougault
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce et Offset
Quantite émis : 500.000.
Bande phosphore : 1 bande à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5100
Catalogue Maury : N° 5062
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,58 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,30 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires La plume d'oie
Le bout de la plume était durci par chauffage, puis taillée de façon à retenir une goute d'encre. Pour écrire, la plume était bien entendu trempée dans un encrier, et l'encre se déposait sur le support en y grattant la plume. La tige de la plume est recouverte d’une graisse qui empêche que l’encre puisse y adhérer. Pour l’éliminer, les extrémités des tiges (qui devaient avoir un diamètre minimum de 4 mm) étaient donc plongées dans de la cendre ou du sable chaud, avant d’être grattées avec une lame, puis laissées à vieillir pendant un an. Leur taille, qui se devait d’être très précise, nécessitait ensuite une connaissance et une habileté particulière, et se faisait à l’aide d’un taille-plume (couteau).
Source plumes.fr