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L'histoire

 

L'histoire des plumes d'écriture - La plume « Sergent major »


vente anticipée : Bureau temporaire à Paris à l'espace Champeret du 4 au 6 novembre 2016, au Carré d'Encre le 4 et 5 novembre 2016
Vente générale : 7 novembre 2016
Retrait de la vente : 25 aout 2017
Valeur faciale : 0.70 €
Graveur : Sarah Bougault
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce et Offset
Quantite émis : 500.000.
Bande phosphore : 1 bande à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5098
Catalogue Maury : N° 5060
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,58 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,30 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 

Informations complémentaires

La plume Sergent-Major

est une plume métallique utilisée dans les écoles françaises pour l'apprentissage de l'écriture à la fin du XIXe siècle et jusqu'aux années 1960. Comme celui de ses corollaires, le porte-plume, l'encrier de porcelaine blanche et l'encre violette, son nom évoque les bancs de l'école républicaine, gratuite, laïque et obligatoire.
Invention hollandaise introduite au XVIIe siècle à Port-Royal, venant des Pays Bas où les Jansénistes avaient des correspondants, et répandue en Angleterre à partir du milieu du XVIIIe siècle, la plume métallique se répand en France dans le courant du XIXe siècle, supplantant l'usage de la plume d'oie. Boulogne-sur-Mer, placée sur la route de l'importation, voit s'ouvrir en 1856 une première fabrique industrielle de plumes. La marque et l'emballage sont déposés par la société Gilbert et Blanzy-Poure.
Emballées dans des boîtes de vingt ou de cinquante, les plumes Sergent-Major comportent un talon à glisser dans le porte-plume, un œil (ou jour) situé au centre de la plume et prolongé d'une fente et une pointe fragile et émoussée à la moindre chute sur le sol, ce qui n'empêche pas les écoliers de jouer aux fléchettes avec.
Source Wikipédia