Retour
«Centaure

 

«Centaure mourant » sculpture d'Antoine Bourdelle (1861-1929)


vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et au Salon Philatélique d'Automne à Paris Expo et à Montauban le 4 et 5 novembre 2011.'
Vente générale : 7 novembre 2011
Retrait de la vente : 31 aout 2012
Valeur faciale : 0.89 €
Graveur : André Lavergne
Dessinateur ou mise en page: Sylvie Patte et Tanguy Besset
Dentelure : Dentelé
Couleur : Polychromie
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 1.900.000
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier : N° 4626
Catalogue Maury : N° 4551
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,71 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,33 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 

Informations complémentaires

Antoine Bourdelle

Né à Montauban il découvre la sculpture dans l'atelier de son père, artisan sculpteur sur bois. A l'âge de quinze ans, il reçoit une bourse d'études pour l'Académie des Beaux-Arts de Toulouse.
En 1884, Antoine Bourdelle entre à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris où il est l'élève d'Alexandre Falguière (1831-1900) et fait partie de la «bande à Schnegg». Deux ans plus tard, il quitte l'Ecole des Beaux-Arts pour être plus indépendant et vit en vendant des dessins.
En 1893, Antoine Bourdelle est engagé comme praticien dans l'atelier de son ami et fervent défenseur Auguste Rodin avec lequel il collaborera pendant quinze ans. De 1895 à 1902, il réalise «Le Monument aux Combattants et Défenseurs du Tarn-et-Garonne de1870-71» dont il a reçu la commande pour la ville de Montauban grâce à l'intervention de Rodin.
De 1910 à 1913, l'artiste réalisa, à Paris, le décor sculpté de la façade et de l'atrium du Théâtre des Champs-Élysées, témoignage éclatant de ses dons de sculpteur architecte. Il exécuta pour cela pas moins de 75 ouvrages parfaitement intégrés à l'architecture.
Texte du webmaster d'après divers documents.